DelphineroS

bloG-roMan

Ma photo
Nom :
Lieu : Paris, France

30 août 2006

( ...en virgule )°C

Je crois en virgule, mais les deux-points sont mes saints. Se donner au point-virgule ne répresente rien pour l’artiste de mon type. Je suis chic, le monde est choc. Je suis rock, l’amie est roll. Tout un rêve pour les trois-points dans mon Lit. L’amour, l’âme vibrante, le sexe, le Y en X, et le roman est dit. Me comprends-Tu ? E(ros) = hf3

29 août 2006

L'amas d'âmes

Seulement par l’adverbe, le Slave devient le Serbe. Uniquement par le vin adoré, le Serbe se transforme en Français. Leustatine est ma triste prose, la Mort a déjà créé ma pièce d’identité. T’inquiète plus, ce drame enseigne mon âme, met mon esprit en nu devant la colombe blanche. Quelles hanches ?

28 août 2006

Pièces d'identité

Peut-être. Adverbe au présent d'incidence à venir. Adverbe déclaratif débordant d'incertitude. Sans titre de transport, comment atteindre l'abandon extatique ? Enseignante, pas prof. Ce n'est pas question de distinction, encore moins de reconnaissance - on ne mérite pas un concours sur des résultats obtenus lors d'une session, mais sur une vie de travail et d'intérêt - Le pro-fesseur professe, parle pour sa discipline et son savoir. Son cousin religieux est le pro-phète. L'en-seignant in-sinue les connaissances, il apprend aussi par le coeur, par tout ce qu'il ne contrôle pas et qui parle à sa place, sans ses mots, directement dans le langage des élèves. "Que c'est idiot, tes paroles !" Le cri du coeur, incisif et renversant. Nalim, mais le tour est joué. Rébellion, résignation, deux parfaits synonymes. Provocation sans vocation, inacceptable. Je savoure nos silences comme l'ultime contact de nos êtres fuyants. Comprends-tu maintenant pourquoi le mot amour apour première syllabe la lettre initiale - initiatique - de l'alphabet ? {deltΔ}

27 août 2006

L' âm-oureuse

Tu es la virilité en toute démarche osée, défiant en corps à corps la jalousie. Tu adresses à ta sylphide les mots que je prends pour moi. "Menteuse". Je me demande dans quelle mesure ce refrain masculin est pour lui un refuge accommodant. Admettre que la confiance ne nous réunit pas toute, sans chercher tout de suite à le reprocher à l'autre, voilà sans doute une étrange idée compliquée ! Le sais-tu, que j'ai déjà vécu l'infini en moi ? Que crois-tu ? Que ta chance n'est pas discrète ? Que ta sociabilité n'est pas significative ? Que ta voix n'est pas bouleversante ? "Les hommes sous-estiment gravement le pouvoir de leur sourire", suggère Cécile. Jusqu'où cette fille éprouve-t-elle les mêmes pensées que moi ? C'est vertigineux. Elle me parle et j' entends se développer les impressions et les préoccupations pour lesquelles je vis complètement. {deltΔ}

25 août 2006

Planète Pluton...

Après tout, le ciel ne va pas changer pour si peu. "Les savants ont calculé que dans un temps relativement court à l'échelle cosmique, l'étoile polaire n'indiquera plus le Nord aussi infailliblement." " Tu n'imagines pas que les étoiles que nous voyons au moment où nous parlons, ne sont pas situées à cet endroit, en réalité. Et plus on voit loin, plus on le déplacement est grand." Je comprends que le ciel a une énorme mémoire et que mon père et mon frère l'aiment pour son vertige silencieux. Ma naïveté m'émeut. je pense à toi de tout mon corps, de tous mes sens difractés par cette nuit haute d'été. Même le ciel se fuit et nous illusionne ? Je m'arrête sur ce paradoxe : Pourquoi le ciel s'éteint-il lorsque nous le regardons depuis une avenue éclairée ? L'être urbain aussi a besoin des étoiles. Ne pas croire que les hommes tentent de rivaliser avec le firmament en suspendant dans les rues des pseudo-étoiles électriques. "Fini le spectacle...". Oups ! J'ai la folie cosmique, la logique complexée et le regard cosmétique. Une nature susceptible, voilà qui devrait m'apaiser. Pluton n'est plus une planète. Qu'importe ! Plût à Dieu qu'elle demeure inclassée ! {deltΔ}

24 août 2006

to Me or not to be

La méditation est plus que le plaisir des penseurs en costumes bleus. Le charme des profondeurs attire ma triste masse. Je suis mangeur des maximes parfumées. Quelque part entre le Moi et l’au-delà, résiste une joie. Quelle est cette lumière dans tes mains, palpée par la vibrance philosophale de tes doigts ? Une autre vision de la Nature, peut-être, un autre Être… Le thé, la passion du sucre, le blanc sur le bleu céleste, l’ange gardien pour nous apprendre le bréviaire urbain.

ad usum Delphini

Sphère de mystère butinant à la lumière de l'univers. Où nous retrouverons-nous ? Se plaindre du silence des montagnes, comme si la ville allait me répondre ! Sphinx d'animations, l'équi-libre existe-t-il ? Et la beauté sait-elle s'en passer ? "Le monde est un obscur désir". J'ai le mode de vie chimérique et vertigineux, toi le verbe provocateur et séduisant. J'écoute en tremblant tes phrases ad usum delphini. Dans ton âme allumée, tu oses me nommer dauphine d'écriture. Me comprends-tu ? L'être trouve des avantages à l'existence virtuelle. {deltΔ}

22 août 2006

( bad in ... )*

Je suis moche ! Tu n’as pas bien vu mon visage. Je suis tellement loin de l’être idéal. Mes fantasmes sont d’une idiotie énorme. Je dépasse les bornes. Delphine-Cécile-Caroline ? DCC, et la joie est faite. Fêtons l’amour, nuits et jours. Et quoi encore ? Je suis moche… même mort.

18 août 2006

on s'en fouT

on s'en fout des fleurs
et du ciel ? - entre tes cuisses
je trouve mon miel

16 août 2006

Le dit est dit et l'écrit fait le cri

charmante petite louve
croque mes ennuis ? – caresse
mes nuits et ma tristesse

14 août 2006

L'uchronie à l'urbanification !

L’amour dans les veines, ta joie dans mes vies, dans mon Lit. Docteur dit que je vivrai encore longtemps, mais on ne sait jamais… Il peut se tromper, lui. Il peu mentir, lui. Écrire à la maison, chez soi, donne une impression de la solitude désirée, contrôlée. A la bibliothèque, les filles ne sont pas toujours prêtes à discuter, et les garçons ne m’intéressent pas. Par manque d’amour, peut-être, j’étais toujours attaché aux filles. Que sait le montagnard de l’amour ? Il préfère les animaux domestiques, il craint les loups et les serpents. Bon sang ne saurait mentir ? Je suis amoureux d’amour, ma grande famille de ma nouvelle vie. Où es-Tu ?

08 août 2006

Quod licet Jovi...

La Poésie est-elle éternelle ? L’art du langage que je ne publie pas : mon âme n’est point belle. Mes strophes sont en boîte, mes rimes en cave, mes vers dans les greniers de la Muse que je n’ai pas réussi à amuser. Tiens, encore un jour sans le chef d’œuvre brillant !

04 août 2006

le Moi-Tu*

Ouvre l’âme et tâche de ne plus être gothique dans tes prières ! Je suis presque la Vie, tu sais très bien où commence notre roman anatomique. Il y a dans mon lit un désir vibrant de revivre l’envie pure après l’apocalypse. La résurrection ? Décris mes sept jours de la chimiothérapie, dessine deux semaines de l’aplasie, sauve-moi de la Peur par ton corps tout nu ! L’homme du Jour se transforme en mâle de la pure Nuit. Pourquoi ? J’ai bien appris la Prose : « Arrêtez, je fais ma nouvelle pause ! » Chaste est la Nature entre ces quelques synonymes bien choisis : saine, éthérée, angélique… Chaque lundi, je prie mes anges à retrouver la force de survie. Понедељак, le Moi-Tu…

jaRRe du Cri

Le dico chanceux prend ton prénom pour le premier mot. D’une phrase à l’autre le verbe explique que l’Homme est beau. Tous mortels, la Nature n’a qu’un désir : rester éternellement Jeune et Belle.  Et puis tant pis, l’éternelle est la Poésie.

 

03 août 2006

Graine d'oracle

Grain de folie aux secondes sucrées par ton esprit : l’art de la Plénitude. Je ne dors plus, mes nuits sont des prières fluides aux dictionnaires chanceux. Dit-on « le Moi » à l’amante sans aucun futur possible ? Le mâle dit n’importe quoi, l’homme choisit son étoile, l’Homme se donne la peine d’apprivoiser le mâle. Manger tes pensées après le Silence indéfini, voilà ma chance ! Graine d’oracle aux jours sans gêne, voilà mon existence…

02 août 2006

Сесиль соглашается

Cécile est d'accord qu'on accorde nos corps par l'harmonie charnelle : Toi, le Moi, Elle... La haute couture de la Nature nous dessine par la couleur nue. Me comprends-Tu ? A tout hasard, je rime la hâte et la chatte, la hase et l'extase ; hébété que je suis, j'ai l'être qui tout t'écrit. Seulement le Rêve est juste, l'Amour huille ma buste. C'est si littéraire, littéral et désirable, delphinesque à poil, le Bien pour chaque mâle.