De nuit, la surface de l’étang délivre la sagesse. Puisque les arbres s’y baignent, comment peux-tu savoir qui reflète qui ? Là, toujours, la douceur de ton âme me manque. Bien sûr receleuse d’un ego, mais aussi intimement désireuse que s’épanouisse l’alter, toi. Tu parles de domination, d’esclavage. Et je ne savais pas que jusque dans l’amour pouvait s’exiger un rapport de force. Tu laisses marcher ton sourire sur ma naïveté, tu m’observes tâtonner depuis ton silence, entre timides initiatives et reculs respectueux. Non, je ne complique pas, ni ne cherche la complaisance dans le malheur. Juste savoir si ne te touchent que les belles séductrices. {deltΔ}
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